Dans les deux cas (sécheresse et ouragan), les maladies infectieuses et contagieuses se multiplient pour faire encore des victimes de plus.
Qu’il vous souvienne l’inondation qu’avait connue le sud-ouest du Benin en début d’octobre 2010 faisant 43 morts et près de 100.000 sans-abri !
Grâce à sa diplomatie, le Bénin a eu des dons de ses partenaires et des organisations internationales. Mais les conséquences de cette inondation se sont faites ressenties en 2011 sur les produits agricoles accentuant du coup la crise économique et alimentaire.
Au grand dam de tous, les experts en climatologie au Benin nous ont dit que cette inondation n’est pas la conséquence du réchauffement climatique mais la conséquence directe d’une mauvaise urbanisation. Car la pluviométrie n’a pas changé.
Dans tous les cas, les tempêtes ne sont pas prêtes de baisser tant que nous n’aurons pas changé de mode de vie et de comportement. Car, plus les calottes glaciaires disparaissent plus les océans se réchauffent par conséquent la formation de tempêtes auxquelles on attribue tout type de nom augmentera avec ses effets dévastateur et terroriste.
Que faisons-nous donc au Bénin pour atténuer les effets du changement climatique ou bien allons –nous nous contenter tout le temps des dons ?
Pensons-nous que c’est toujours l’affaire des grandes puissances ?