1. La commune de Bantè : usine de transformation de la pomme de cajou en alcool
2. La commune de Natitingou : usine de transformation des mangues en jus
3. La commune de Kpomassè : usine de transformation de la tomate en purée
4. La commune de Zakpota : usine de transformation des oranges en jus
5. La commune d’Allada : usine de transformation des ananas en jus
6. La commune de Parakou : usine de transformation de la noix de cajou en amende comestible.
Pour le ministre Sabaï Katè, l’intérêt que revêt ce projet est telle qu’il faille s’atteler au plus tôt à sa concrétisation. En effet, les objectifs poursuivis par le gouvernement en finançant en partie ce projet appuyé par un prêt indien, sont la valorisation des produits locaux, la lutte contre le chômage et la pauvreté, la réduction de la pénibilité du travail des producteurs, la suppression des pertes post récoltes des produits agricoles puis l’accroissement du produit intérieur brut.
Mais des interrogations restent à se poser : ces usines ne finiront-elles pas par devenir des éléphants blancs ?
Pourquoi n’a-t-on pas cherché à soutenir les entreprises privées qui ont voulu se lancer dans ces activités ou qui le font déjà sur le territoire ? Par exemple la société INRA (une société industrielle) fait des jus d’ananas en cannettes à Allada.